Participer

Silence comme don de notre écoute à la Parole qui nous arrive de bien des façons : lectio, offices, rencontres, travail, informations…
Silence comme retenue dans les paroles
Silence comme attention dans les gestes
Silence par l’absence de fond sonore si commun aujourd’hui
Silence comme écoute d’une autre voix que la nôtre
Silence comme don fait à l’autre, à la sœur, aux hôtes,
Silence comme espace de rencontre intérieure,
Silence pour laisser à la Parole, aux paroles le temps de mûrir, de porter du fruit : celui de la charité,
Silence, bien précieux et si fragile, cher à saint Benoît :

un monastère bénédictin doit être un lieu de silence, un lieu de paix.

« Il sied au disciple de se taire et d’écouter » RB 6,6

« Le silence contribue à pacifier le cœur et à le tenir en éveil… Il donne sa profondeur à la parole. » Constitutions 31