Bas les masques !
Jésus ne décolère pas, devant l’hypocrisie ambiante ! Nous le retrouvons, à table chez le Pharisien, la conversation tourne à la correction. Il prononce des paroles de blâme bien dures mais tellement vraies ! Bas les masques du cœur ! De notre coeur aussi. Comment nous entendons-nous interpelés ?
« Quel malheur pour vous, pharisiens, parce que vous payez la dîme sur toutes les plantes du jardin, comme la menthe et la rue et vous passez à côté du jugement et de l’amour de Dieu….. »
Vous aussi les docteurs de la Loi, malheureux êtes-vous, parce que vous chargez les gens de fardeaux impossibles à porter, et vous-mêmes, vous ne les touchez même pas ces fardeaux d’un seul doigt. »
La description n’est plus au fusain noir mais à la chaux. La lumière se fiat torche. Le croquis n’en est que plus saisissant et bien lisible pour tous. Comment ne pas nous approcher et avec un œil neuf entendre le cri de misère de ces murs et de ces beautés extérieures trompeuses ?
La lumière fouille les recoins des coeurs. La Parole multiplie les mises en lumière… liste longue et perturbante. Un arrêt sur la question de l’hypocrisie de sentiments. Quelles lumières en nous, pour nous ?
Comment découvrir le bonheur de vivre à hauteur de ses sentiments accueillis, ressentis, habités et régulés, maîtrisés ? N’est-ce pas le propre de l’homme et de la femme, créés à l’image de son Dieu, lent à la colère, plein d’amour et de tendresse ?
Journée d’accueil de nos sentiments sans masque et sans apparats !
Mettons le comble à la joie de Dieu
Avec l’amour pour toute beauté
sans masque et sans apparats trompeurs !
Mode : Bonne Nouvelle !
